Ligne claire
Floc’h rend hommage à l’Angélus de Jean-François Millet et de la famille de Boüard

Illustrateur so british, le dessinateur a réalisé une série de vingt dessins revisitant les lieux de consommation du premier grand cru classé de Saint-Émilion.
Connu pour ses bandes dessinées, affiches de cinéma et couvertures de magazine, le dessinateur Floc’h prête son trait épuré et sa palette colorée à la communication du château Angélus (premier grand cru classé A de Saint-Émilion). Une collaboration avec le vin de James Bond qui semble couler de source pour le fils spirituel d’Edgar P. Jacobs, le créateur des BD so british Blake et Mortimer. S’inspirant de la composition du tableau l’Angélus de Jean-François Millet, Floc’h a décliné cette image d’un couple à la fin de journée dans vingt lieux liés au château Angélus.
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Commençant par les vignes de la propriété (ci-dessus), l’illustrateur a continué avec Londres et Paris comme lieux de consommation. Restent à venir Agra (où se trouve le Taj Mahal), Amsterdam, Berlin, Bruxelles, Copenhague, Genève, Hanoi, Moscou, New-York, Pékin, Québec, Tokyo, Vienne, San Francisco, Sydney, et pour finir un retour à Saint-Émilion
Cette série de vingt illustrations doit être utilisée en tirage limité et faire l’objet d’une exposition dans les chais du château Angélus l’an prochain. Le fruit de ce partenariat doit surtout illustrer un site dédié, Angélus Travel, qui donne dans chacune des villes illustrées une sélection d’adresses de restaurants, hôtels, bars et cavistes. Une déambulation d’esthète fortuné qui n’est pas sans rappeler le carnet de voyage que Floc’h a réalisé en 2015 pour Louis Vuitton, sur Édimbourg en particulier, et l’Écosse en général.
Si les premiers et derniers dessins de la série représentent Stéphanie de Boüard-Rivoal, la directrice du domaine familial, et son cousin, Thierry Grenié de Boüard, directeur général adjoint, les autres personnages de la série sont également inspirés de personnes réelles.